L’instrument FORS2 de l’ESO capture des détails incroyables de la galaxie spirale NGC 3981
FORS2, un instrument qui équipe le Very Large Telescope de l’ESO, a observé la galaxie siprale NGC 3981 dans toute sa splendeur. Cette image a été acquise dans le cadre du programme Joyaux Cosmiques de l’ESO, alors que les conditions d’observation ne permettaient pas de collecter des données scientifiques. Lors des phases d’inactivité, le programme Joyaux Cosmiques de l’ESO permet aux télescopes de l’ESO de réaliser de spectaculaires images du ciel austral... Lire la suite
ÉTOILES VERSUS POUSSIÈRES DANS LA NÉBULEUSE DE LA CARÈNE
VISTA observe l’une des plus vastes nébuleuses de la Voie Lactée dans le domaine infrarouge
La Nébuleuse de la Carène, l’une des nébuleuses les plus étendues et les plus brillantes du ciel nocturne, a été magnifiquement capturée par le télescope VISTA de l’ESO installé à l’Observatoire de Paranal au Chili. En l’observant dans le domaine infrarouge, VISTA s’est affranchi du gaz chaud et de la poussière sombre situés en périphérie de la nébuleuse et a révélé la présence de myriades d’étoiles, nouvellement nées pour certaines, sur le point de mourir pour d’autres... Lire la suite.
Dans les parties les plus sombres et les plus froides de ses régions polaires, une équipe de scientifiques a directement observé des preuves définitives de glace d'eau à la surface de la Lune. Ces dépôts de glace sont dispersés et pourraient être anciens. Au pôle sud, la plus grande partie de la glace est concentrée dans les cratères lunaires, tandis que la glace du pôle nord se propage plus largement, mais de façon peu dense.
Une équipe de scientifiques, dirigée par Shuai Li de l’Université de Hawaii et Brown University et composée de Richard Elphic du Ames Research Center de la NASA en Californie, a utilisé des données de Moon Mineralogy Mapper (M3) de la NASA pour identifier trois signatures spécifiques il y a de la glace d'eau à la surface de la lune.
Tout près de nous à l'échelle de la Galaxie, à 4,2 années-lumière seulement, une planète orbite dans la zone habitable de Proxima du Centaure. À l'aide de nouveaux modèles, une équipe de chercheurs estime qu'« il y a de bonnes chances que la planète soit habitable ».
Mercredi 24 août 2016 : les Terriens apprennent qu'il existe autour de Proxima du Centaure, l'étoile la plus proche du Soleil (4,22 années-lumière), une planète dans la zone habitable. Depuis, les seules choses que l'on sait à son sujet est qu'elle est un peu plus massive que la Terre (1,27 fois sa masse), la distance avec son étoile parente et sa période orbitale : 11,18 jours. Elle est beaucoup plus proche de son soleil que Mercure ne l'est de notre étoile mais Proxima Centauri est une naine rouge, une toute petite étoile (bien que l'étoile est proche de notre Système solaire, on ne la voit pas à l'œil nu) pas très chaude. À 7,5 millions de kilomètres, elle est dans la zone habitable, la région du système où il ne fait ni trop chaud ni trop froid, si bien que, si elle a de l'eau à sa surface, elle pourrait être à l'état liquide. Toutefois, personne ne sait encore si ce monde est enveloppé d'une atmosphère, et si c'est le cas, il resterait à connaître son épaisseur... Par ailleurs, les chercheurs ne savent pas encore non plus si son orbite est plutôt circulaire ou elliptique... Lire la suite.
Article de Xavier Demeersman, (Futura).
LA VIDEO DU MOIS
DANS LES PLAINES PRÈS DE GANGES CHASMA
Embarquez pour un survol de Pluton et de son satellite Charon. Grâce au survol historique de la sonde New Horizons en juillet 2015, les astronomes ont pu découvrir le vrai visage de cette planète naine située aux confins du Système solaire, au-delà de Neptune. Bien que glacial, ce monde arbore une extraordinaire diversité géologique et aussi un grand cœur, théâtre d'une activité insoupçonnée. Découvrez ses paysages faits de glaces visqueuses et dures, ses montagnes et ses plaines, ses couleurs et ses matières... Lire la suite de l'article de Xavier Demeersman, (Futura).